Best de l’Humour 2 : la sélection, c’est maintenant
Comme l’an passé, les professionnels de l’humour se mettent en marche pour dénicher les jeunes talents du rire. Depuis novembre, ils s’activent pour mettre en lumière ces futures pépites lors des Best de l’Humour 2.
Les Best de l’Humour récidivent donc après une première un peu longue mais très enrichissante. J’avais vécu cette soirée avec beaucoup de passion. Par exemple, j’avais fortement réagi en voyant que Nicolas Fabié ne figurait pas parmi les sélectionnés, oubliant un peu l’essentiel.
Best de l’Humour 2 : une antichambre du rire qui en veut
Pour avoir vu la plupart des finalistes de l’époque, le résultat était finalement homogène et j’ai fini par être agréablement surprise par des humoristes comme Farah et Jessica Anneet. D’autres, comme Alexandra Pizzagali et Bruno Peki, ont immédiatement su me plaire.
Les sélections sont encore en cours et vous avez la possibilité d’y assister à Paris les 10 et 14 janvier au Théâtre du Marais. Quant à la grande finale, elle aura lieu à l’Alhambra le 29 janvier.
Le calendrier est plus clément pour les Best de l’Humour 2, car la soirée découvertes du Festival d’Humour de Paris a lieu cette année le 26 février. Je le précise car la puissance d’un Jean-Marc Dumontet et d’une Antoinette Colin (Le Point Virgule et leur razzia récente de théâtres montre leur influence dans le game…) aurait pu vous détourner d’une soirée avec des moyens réduits sur la même semaine.
Notre conseil : ne manquez pas ces présélections, les jeunes artistes ont besoin de votre soutien ! Sait-on jamais, certains feront peut-être l’Olympia ou l’un des gros théâtres de Jean-Marc Dumontet d’ici 5 à 10 ans… En plus, le spectacle sera un peu moins long que la grande finale 😉
Crédits photo
© Les Best de l’Humour. La photo remonte aux présélections de la première édition à Nantes, dans un lieu emblématique de l’humour. Si vous souhaitez faire un tour de France du stand-up, c’est au West Side Comedy Club que vous devez vous rendre en priorité ! Et oui, vous y reconnaissez peut-être Nicolas Fabié, que je n’ai pas oublié depuis l’an dernier…